CEREGMIA : LES CARTONS DE LA HONTE
Alors que Fred CELIMENE alias Julie FREMONT s'agite sur Internet en recommençant à envoyer à la terre entière des mails mensongers et diffamatoires contre ses deux ennemis préférés (la présidente de l'Université des Antilles et le doyen de la Faculté des Lettres et Sciences humaines), la Commission de Sécurité de la Préfecture, composée de fonctionnaires de l'Etat, de la gendarmerie, des pompiers et de l'Université, s'est réunie et a confirmé la décision de la présidente de fermer la Bibliothèque Universitaire tant que le vide sanitaire du bâtiment recélera les 400 mètres cube de cartons qui a illégalement entreposés le CEREGMIA.
Fred CELIMENE avait traité la présidente de "folle", or la Commission de sécurité a approuvé la décision de celle-ci, ce qui signifie que ladite commission est également composée de fous, si l'on comprend bien.
Or, il suffit de jeter un œil à l'image qui illustre le présent article, image qui ne montre qu'une toute petite partie de la plus que centaine de cartons qui encombrent le vide sanitaire de la bibliothèque universitaire pour mesurer à quel point les signataires (Fred CELIMENE, Pascal SAFFACHE et Serge LETCHIMY) de la convention ayant abouti à cet entreposage ont joué avec la vie des centaines d'étudiants qui fréquentent chaque jour l'établissement ainsi que celle du personnel.
Ces "brillants cerveaux" ne pouvaient, en effet, pas ignorer ce qu'est un vide sanitaire. Ils savaient très bien que c'est un élément fondamental dans la protection des bâtiments publics, surtout dans une zone à forte sismicité telle que la Martinique. Ils savaient pertinemment qu'un vide sanitaire est fait pour rester...vide. En y entreposant donc, de manière illégale (sans marché), des archives régionales et autres, ils sont coupables d'avoir mis en danger la vie d'autrui. En effet, la porte d'un vide sanitaire ne peut être hermétique, mais composée de barreaux afin d'être ventilée en permanence, ce qui veut dire qu'il est facile d'y lancer un engin incendiaire. 400 mètres cubes de cartons qui brûlent, ce serait un méga-incendie avec toutes les conséquences désastreuses que l'on imagine.
La CTM, héritière de l'ex-Région, est de facto propriétaire de ces archives et se doit les récupérer au plus vite afin de permettre la réouverture de la Bibliothèque Universitaire, outil de travail indispensable aux 4.500 étudiants inscrits sur le campus de Schoelcher. Cependant, le silence qu'observe la nouvelle collectivité sur ce dossier est pour le moins curieuse...
Wait and see !